Tropea

Les origines de Tropea ne sont pas connues, mais on dit que son fondateur a été Ercole qui, de retour de l’Espagne, il s’arrêta sur la Cote des Dieux, en faisant donc devenir Tropea un des “Ports d’Ercole”.

La ville se dresse sur une falaise entre les Golfes de Gioia Tauro et de St. Eufemia, comme une terrasse donnant sur la mer; elle est riche de beautés fabuleuses naturelles et architectoniques, de sorte qu’elle puisse être définie comme la Perle de la Calabria.

La partie ancienne de la ville se dresse sur une terrasse surplombante la mer, où en face il y a la petit île (presque un rocher) avec l’ancien Sanctuaire Bénédictine (Eglise de St. Marie de l’Ȋle).

Existant depuis l’an 370 Après Christ, d’origine basilienne, renouvelé à l’âge gotique, pour des siècles a été l’abri d’ermites et marins, étant donné que avant il n’était pas lié au terrain.

Le sanctuaire est rejoignable avec un escalier raide obtenu dans le même rocher de l’ile, autour de l’église il y a un jardin merveilleux plein de plantes méditerranéennes, avec une vue étonnante sur la mer et une panorama très suggestif sur toute la côte, et en plus en étant une place très romantique….

Sur le fond on peut apercevoir les Ȋles Eolie avec Stromboli et Vulcano très visibles, la Sicilie avec son suggestif Etna, et l’étendue de la mer Tirreno en face.

L’arrière-pays luxuriant, avec les établissements des agriculteurs experts qui cultivent la terre, en obtenant des produits connus dans le monde entier comme par exemple le fameux “Oignon rouge de Tropea” complètent cet angle de Méditerranéen pas encore correctement évalué.

Les plages au dessous de la falaise de Tropea sont très blanches, et contrastent magiquement avec une mer claire et cristalline avec des couleurs qui vont du turquoise au bleu profond, si belles à pouvoir définir la zone comme la “Côte des Dieux”.